lundi 8 juillet 2019

Et bien sûr, pour finir la semaine en beauté...

©Pascal Rabel

Robin, notre coordinateur préféré !

Robin Godicheau est coordinateur au Saveurs Jazz Festival depuis maintenant 7 ans. En 2011, alors qu’il était bénévole, le directeur Pierrick Aunillon lui a proposé le poste de coordinateur qui n’existait pas encore. C’est donc Robin qui a dû créer sa recette pour ce poste. Avant tout, n’oublions pas que Robin est l’ingrédient indispensable du Saveurs Jazz Festival. Et oui, c’est à lui que revient la supervision des bénévoles et l’harmonisation des activités de chaque pôle de la brigade du festival. Il faut avoir l’œil partout, être en lien permanent avec les collègues, veiller à ce que tout se passe bien et que les délais soient tenus.
Si Robin a craqué pour ce métier en lien avec ses études et son parcours de jeune bénévole engagé (il était à l’origine du festival Chaou Baou de Noyant-la-Gravoyère), c’est parce qu’il peut travailler sur le territoire où il a grandi, ce qui est vital pour lui. 
Robin vit assez souvent des moments stressants, comme lors de sa toute première édition (On n’a pas de mal à l’imaginer !), ou encore en 2016 quand il a dû assurer seul la responsabilité du festival. Malgré la fatigue, il adore les moments très festifs à partager avec ses coéquipiers. 

Robin, raconte-nous ton coup de cœur…
En 2018, fier d’avoir programmé le groupe Binker and Moses, il a pu voir une petite partie de leur concert, malgré sa charge de travail. Il a adoré ! 
En 7 ans de travail, Robin a connu des moments assez drôles. L’année dernière, par exemple, l’association des commerçants de Segré avait proposé un jeu de piste en lien avec l’office du tourisme. Il s’agissait de retrouver la contrebasse de Kyle Eastwood perdue quelque part dans Segré. Et bien figurez-vous que cette disparition imaginaire est devenue réalité ! En arrivant à l’aéroport de Nantes, l’instrument avait bel et bien disparu des bagages de l’artiste ! Il fallait trouver une solution ! Qu’à cela ne tienne ! Kyle Eastwood, doté de plusieurs cordes à son arc, a pu jouer… sur une basse électrique !

Constance Béchu
1ère Bac Pro GA
Lycée Bourg Chevreau

Les petites mains du festival...

Parce que sans eux, le festival n'aurait pas lieu !


Techniciens pendant les balances ©Pascal Rabel
Bénévoles ©Yves Estrabaud
Jérôme, régisseur ©Thierry Ploquin
Bénévoles ©Françoise Lardeux
Bénévoles ©Jean Thévenoux
Technicien ©Thierry Ploquin
Benjamin, billetterie et accueil ©Thierry Ploquin
Robin, coordinateur du festival ©Thierry Ploquin
Membres des équipes de secours et de sécurité ©Thierry Ploquin
Paul et Robin, équipe de production ©Pascal Rabel
Nicolas Folmer et Ronan Palud ©Yves Estrabaud
Alain, coordinateur des bénévoles ©Thierry Ploquin

Vu et entendu

Quand le public en voit de toutes les couleurs !
©Jean Thévenoux


« J’espère que la musique n’a plus de Segré pour vous ! »
« Vive le jazz, youpi ! »

Thomas Dutronc, à la fin de son concert


« On ne peut venir qu’un soir cette année.
- C’est déjà bien, il y en a qui ne viennent pas du tout !
- Ceux-là, ils sont fous ! »

D’illustres festivaliers


« Vincent et ses nappes psychédéliques aérostatées, Émile et son jeu de jambes inimitable manifestation extérieure de son jeu de sax). »
Le festivalier anonyme

Un Saveurs Jazz en Balade aux parfums d'Orient


Thym citron, camomille romaine, menthe poivrée... comptent parmi la trentaine de plantes médicinales cultivées sur l’exploitation d’Adatris à Châtelais que nous avons eu plaisir à visiter nombreux, en calèche. François Duveau et Olivier Courivaud, duo de passionnés du terroir, nous ont expliqué le séchage de leurs cultures à 35 ou 40°, pas plus, pour conserver les principes actifs, sans pour autant dévoiler tous leurs secrets. Ils viennent en effet de breveter « l’eau native », chargée en huile essentielle, qu’ils extraient de leurs plantes.

©Jean Thévenoux
Un second binôme d’exception, Duo Garcia, a pris le relais pour nous offrir un voyage magique sous une tente orientale improvisée qui embaumait la menthe séchée. Le décor idéal pour écouter le jazz oriental de ces deux frères tourangeaux très pédagogues. Duo Garcia, c’est la fusion des cultures du Maghreb et d’Afghanistan. Ellie au robab (luth afghan) et Samuel à la derbouka et autres percussions, jouent avec ces deux esthétiques traditionnelles pour proposer des morceaux uniques et finalement très modernes.

Hélène R.

Dans la marmite de Jean-Marc Ploquin, disquaire marathonien


©Thierry Ploquin
« Je suis disquaire avec ma femme à la ville comme à la scène ». Le couple a pignon sur rue : Les enfants de Bohème rue de Saint-Malo à Rennes, depuis plus de 15 ans. Entre son magasin, les concerts et les festivals, Jean-Marc a des journées à rallonge. 

« Au niveau culinaire, beaucoup parlent de la recette de leur mère ou de leur grand-mère, je vais vous transmettre une recette que mon fils a inventée lorsqu’il avait 9 ou 10 ans. Nous la lui réclamons très régulièrement. C’est le tajine de crevettes du soleil.
Prendre 1 kg de belles grosses crevettes, un oignon, deux gousses d’ail, un bouquet de coriandre, du sel, du poivre, une pincée et demie de piment d’Espelette, un peu de quatre épices. Faire chauffer l’huile dans le tajine. Faire revenir l’oignon émincé et l’ail écrasé. Ajouter les crevettes (après les avoir incisées tout le long de la crête du dos) et les faire cuire jusqu’à ce qu’elles deviennent roses. Baisser le feu et y ajouter du chorizo espagnol coupé en tranches. Incorporer les épices, le sel, le poivre. Ajouter le jus d’un citron jaune. Laisser mijoter, laisser… prendre. Au dernier moment, ajouter la coriandre ciselée. Servir ce plat avec du riz 3 couleurs. 

Pour ce type de plat, il faut un petit vin blanc, un Picpoul de Pinet, du Languedoc. »

Gisèle C.

La dernière Carte blanche au Carreau...

©Yves Estrabaud
Si on mixe les pas feutrés du saxophone et la course effrénée d'une danseuse énergique, ça fait quoi ? Ça donne le dernier épisode de Carte Blanche au Bois II, marqué par une grande improvisation musicale et chorégraphique. Julien Behar et Maude Albertier jouent à cache-cache entre les arbres et les anciennes bâtisses minières, elle est la femme sauvage, indomptable et proche de la nature, il est celui qui la cherche, qui la suit...

Le tout autour des œuvres de Jimmix qui vit sur le site de Centrale 7. Cela permet à tous les spectateurs de rentrer dans son univers artistique complètement déjanté et de Savourer le Jazz de l'un des derniers concerts du Festival...

Lucien B.

C'était hier...

Retour en image sur la soirée de clôture de la 10e édition du Saveurs Jazz Festival ! Vivement l'année prochaine !



Monolithes ©Françoise Lardeux

Florin Niculescu 5tet ©Pascal Rabel

Vincent Peirani ©Thierry Ploquin

Émile Parisien (Vincent Peirani) ©Thierry Ploquin

NOLA French Connection ©Françoise Lardeux

Thomas Dutronc ©Pascel Rabel