"En voilà une recette top pour les fêtes : douce et piquante à la fois...
Bonnes fêtes à tous !"
FONDANT AU CHOCOLAT AU PIMENT D'ESPELETTE
Ingrédients
-3 œufs
- 110 g
sucre en poudre
- 90 g
chocolat noir
- 85 g
beurre doux
- 35 g
farine de blé
- 2 pincées de piment
d'Espelette
Étape 1
Faire
fondre le chocolat au bain-marie avec le beurre.
Tamiser
la farine.
Blanchir
les œufs et le sucre au batteur jusqu'à obtention d'une mousse compacte.
À
la main, ajouter le chocolat, puis délicatement la farine et le piment
d'Espelette.
Étape 2
Préchauffer
le four à 200 °C.
Étape 3
Réaliser
dans du papier de cuisson des bandelettes d'un diamètre légèrement supérieur à
celui des moules. Les rouler à l'intérieur des cercles en inox disposés sur une
plaque de pâtisserie ou sur un tapis de cuisson.
Verser
l'appareil à fondant aux 3/4 des moules et cuire à 200 °C pendant 6 min.
Étape 4
Poser
un fondant dans l'assiette, enlever le cercle puis le papier. A déguster chaud
ou froid. Bon appétit ! (cette recette sélectionnée par Gisèle est issue du site www.atelierdeschefs.fr)
Deuxième épisode pour "Dans la Hotte" après la sélection de Toque & Notes, 8 nouvelles idées de cadeaux à découvrir... Sur ordre spécial duPère Noël,Alain (Toque&Noteur) flanqué de ses fidèles acolytesMissi & Dominici, s’en est alléinterwiouver, Fanny et Christophe les libraires de M’Lire à
Château-Gontier afin de garnir la hotte. Voici fidèlement retranscrites les
minutes de l’interrogatoire :
Pour les petits :
-- de Magali Le
Huche : Paco et le jazz chez Mes petits livres sonores, 16
musiques à écouter à partir de 3 ans.
Pour les plus grands :
-- Un roman prix Femina 2018, Le Lambeau de Philippe Lançon
-- Et enfin, mais il faut que le Père Noël
fasse les bouquinistescar il est épuisé
(le livre œuf corse),Le livre des alcools de la Série Noirede
Arlette Lauterbachet Patrick Raynal
chez Gallimard.
Retrouvez ces ouvrages (sauf le dernier donc) chez M'Lire - 10 place Paul Doumer 53 200 Château-Gontier
Comme chaque année, les bénévoles de la rédaction de Toque & Notes vous proposent leur sélection à glisser sous le sapin... Encore de très belles découvertes à faire... joyeux noël ! -- JAZZ LOVES DISNEY 1 et 2 "Dans la hotte je mettrais les deux albums de "Jazz Loves Disney" pour retomber en enfance pendant la période de Noël ! :)" Orianne
-- Raphaël Imbert "Music is my Home"(Jazz Village, 2016) "Ce n'est pas une nouveauté car il date de 2016 mais il se déguste comme
une truffe au chocolat : le Cd du saxophoniste Raphaël IMBERT "Music is my
home"" Alain LR
-- Julian & Roman Wasserfuhr"Relaxin’ in Ireland" (ACT Music, 2018) "Le dernier opus des frères Wasserfuhr, qui reprennent à leur manière
des standards du folklore irlandais, dans un jazz très mélodique et
emprunt d'un certain classicisme." Jean
-- La discothèque idéale de FIP ... en vinyle "La discothèque idéale de FIP Jazz en vinyle ! Pour poser sur la platine un
tourbillon d'artistes, dont certains sont passés par le Saveurs Jazz." Hélène
-- Monk ! un roman graphique de Youssef Daoudi (Editions Martin de Halleux, 2018) "Une BD sur Monk qu'il me tarde de lire... Un bon prétexte pour aussi se replonger dans sa discographie !" Robin
3 questions à Ronan Prual, contrebassiste de No Tongues. Un groupe d'aujourd'hui qui explore les sonorités du passé. Envoûtant.
Comment est né votre quartet et comment définissez-vous votre style musical ?
Le quartet a été initié par Matthieu Prual à la suite de sa découverte du disque « les Voix du Monde » paru aux éditions « Le Chant du Monde » en 1996. Ce dernier présente à l’auditeur une suite d’enregistrements musicaux menés par de nombreux ethnomusicologues entre 1924 et 1995, et réalisé par Hugo Zemp, Bernard Lortat-Jacob et Gilles Léothaud. Matthieu explique : « La découverte de ce disque fût pour moi comme un tremblement de terre et un grand souffle d’ouverture comparable à mes premières écoutes de la création contemporaine et à la découverte des musiques improvisées. » No Tongues, ce sont quatre instrumentistes ancrés dans la modernité, qui s’exilent dans un répertoire vocal ancestral.
Comment s'est construit votre projet Les Voies du Monde et où avez-vous puisé vos inspirations ?
Le processus créatif des « Voies du Monde » peut être résumé ainsi : une sélection de pièces dans le disque original, la traduction instrumentale la plus fidèle possible du matériau choisi, puis le décalage vers une interprétation personnelle. La source qui nourrit ce travail : un chant de funérailles aux consonances de jeu d’enfant, Fernand Bordage menant ses bœufs aux labours dans le marais vendéen, deux femmes inuits jouant un chant de gorge ponctué de rires, la dernière chamane Selk’nam de la Terra del fuego égrainant ses litanies couleur de roche… Un chemin dans l’imaginaire et la force musicale créée par les humains au fil de leur évolution.
Comment s'organise l'écriture au sein du groupe et quelle place y tient l'oralité propre aux traditions vocales que vous explorez ?
La méthode d’« écriture » est essentiellement orale, par écoute intensive, imitation, répétition. Puis la transformation et la mise en forme des chants sont issues du malaxage du matériau musical par la pratique et l’improvisation. Un travail particulier s’applique aux tentatives d’imitations des timbres des voix. Parfois, les quatre musiciens utilisent des objets qu’ils appliquent à leurs instruments (pinces à linge, appeaux, bouts de bois ou de métal, baguettes, brosses…) et approchent ainsi au plus près de textures vocales rugueuses et protéiformes.
Ne manquez pas le concert de No Tongues samedi 4 décembre 2018 à 19h au Cargo à Segré (évènement facebook), dans le cadre de Jazz Tempo (entrée libre)
Petite sélection coup de cœur du moment, sur la platine de Toque & Notes ! Avec Les Doigts de l'Homme, Bernard Peiffer, Pat Metheny & Brad Mehldau, Roy Hargrove (dont on a appris avec tristesse le décès il y a quelques jours), Moskus, ou encore Julie et le Vélo qui pleure.
Bonne écoute !
31 concerts / 32 formations / 25 partenaires, rien de moins !
x
17e édition – Du 24 octobre au 8 décembre 2018 en Région Pays de la Loire
Au détour du programme, on peut croiser quelques têtes connues du Saveurs Jazz comme Z Comme (4 dates!), Alex Grenier, Broken Colors, Colunia, Pierrick Menuau, Go to the dogs, Zounds, The Sassy Swingers, Shades ou encore No Tongues, que Jazz au Pays accueillera le 04.12 en partenariat avec Le Cargo à Segré (on en reparlera).
Venez vibrer au son du groupe tourangeau Enez lors des Saveurs Jazz en Balade. Ce matin samedi 7 juillet à 11h30 au Bourg d'Iré dans la cour du château de Falloux (la visite guidée du château affiche complet à 10h) et demain dimanche 8 juillet à Champigné/Les Hauts d'Anjou à 11h30 (après l'atelier surprise autour des saveurs de l'Anjou bleu au golf de Champigné).
Les coups de cœurs littéraires des quatre musiciens :
Les quatre fauves du groupe angevin Des Lions pour des Lions vont enflammer la Scène de la Marmite cet après-midi à 18 h. Il nous ont ouvert les portes de leur bibliothèque :
La soul sensuelle d'Otis Stacks nous régalera ce soir sur la Scène du Parc, avec Elias Wallace à la voix et Damien Bronson Jr à la batterie, sample, clavier et basse.
Elias Wallace nous invite dans sa bibliothèque.
« Je ne pourrais jamais faire la liste de tous les livres qui m'ont influencé ou qui m'ont fait réfléchir et penser différemment, mais en voici quelques-uns : »
Mark Guiliana et ses musiciens ont inauguré ce soir la Scène du Parc pour la 9e édition du Saveurs Jazz. Faisons un tour dans la bibliothèque des quatre membres du groupe.
Voici la playlist coups de cœur de la rédac' en attendant le Saveurs Jazz 2018, bonne dégustation !
Toute la programmation est à retrouver sur www.saveursjazzfestival.com
Le 8 avril dernier Jazz au Pays et l’Anjou bleu
conviaient à leur traditionnel et annuel concert du dimanche matin autour d’un café et de croissants (on pouvait
même compter quelques pains aux raisins). La carte blanche était confiée au
saxophoniste nantais Xavier Thibaud
(souvenez vous de Kind Of Pop) accompagné du guitariste Antoine Passet vu dans PassionCoco ou Marabout Orkestra, pour un duo inédit.
photo Jean Thévenoux
Cette année celui-ci se déroulait dans les locaux de l’école de musique de l’Anjou bleu à Candé, bâtiment magnifiquement restauré, à la belle sonorité. On rêvait que ce bâtiment fut un ancien relais de postes ou une ancienne forge où résonnèrent les complaintes des fers à chevaux martelés sur l’enclume. Et bien non ! Pendant de longues années ce furent les meuglements des bovins qui peuplèrent ces murs. Fin du rêve ? Que nenni !
Pendant une heure, c’est court une heure beaucoup plus bref que soixante minutes pendant cet espace de temps donc, nos deux artistes, compères complices nous menèrent loin de Candé sur des chemins creux, des chemins de traverses, de longues lignes droites parsemées de courbes tout en douceur vers des contrées où comme l’écrivait Charles Baudelaire « tout est luxe et volupté » …
Lors
du concert du quartet Colunia, à Pouancé en 2016 (à l'occasion de Jazz Tempo),celui-ci s’était achevé par la restitution
publique du travail que la harpiste Emilie Chevillard avait réalisé dans la
journée avec la classe de harpe de l’Ecole de musique de l’Anjou Bleu.
Devant
le succès de cette initiative Jazz au Pays et le Pays Anjou Bleu
sollicitèrent Emilie Chevillard pour donner une suite à cette initiative. C’est
ainsi qu’ au cours de l’année 2017 furent organisés plusieurs ateliers qui devaient
déboucher sur un concert plus "consistant".
photo Jean Thévenoux
Ces ateliers ont ainsi débouché sur un concert au théâtre de Loiré le 7 avril dernier où les élèves, sous la houlette de leur professeur Isabelle Formet et d’Emilie Chevillard interprétèrent les 3 morceaux qu’ils avaient travaillés .
- « Pawky » de Dorothy Ashby qui , dans les années 50 a propulsé la harpe dans les formations de jazz aux USA
Et 2 morceaux inédits, composition d’Emilie Chevillard, « Un après midi d’été » et « A genuine one »
Cette expérience ouvrait aux élèves de nouveaux horizons en leur faisant découvrir un monde musical différent de celui qu’ils abordent habituellement et des techniques différentes de toucher de cordes de leur instrument.
Concert - Emilie Chevillard & la
classe d'harpe de l'école de musique de l'Anjou bleu
7 avril - Théâtre de Loiré - 20h Une soirée proposée avec l'Anjou bleu / Pays Segréen
Le temps d'un concert venez découvrir
les morceaux inédits travaillés avec Emilie Chevillard (accueillie avec Colunia). Accrochez-vous pour ce beau
voyage entre improvisation et harmonies !
Entrée libre dans la limite des
places disponibles
A l'occasion de ce concert (et ateliers !), découvrez
l'interview d' Emilie Chevillard par la rédac' de Toque &
Notes.
Comment devient-on harpiste de jazz sachant que cet instrument, la harpe, n'est
pas un instrument que l'on rencontre habituellement dans ce genre musical?
x
Je suppose que ça dépend du parcours de
chacun. Il n'y a pas vraiment de cursus pour ça, quoique maintenant on peut
trouver des workshops, masterclass et stages plus facilement qu'il y a dix
ans... Pour ma part, j'ai toujours aimé improviser, et puis je me suis
confrontée au fait que je ne pouvais intégrer un cursus Jazz car la harpe
celtique ne le permet pas : disons que malgré son nombre élevé de cordes,
certaines manquent encore à son arc pour accéder à certains types d'harmonies.
Je me suis donc armée de patience et j'ai appris une nouvelle harpe dite
"chromatique" qui me permet maintenant d'aller tester ce que j'ai
envie, et c'est principalement en jouant que j'ai appris et que j'apprends
toujours (je n'aurai jamais fini d'ailleurs!).
Colunia à Pouancé en novembre 2016 (photo : Jean Thévenoux)
Comment envisagez-vous les ateliers avec
les élèves de la classe de harpe de l'école de musique de Segré-en-Anjou-Bleu?
Pour moi, ce sera l'occasion de partager
avec eux la façon dont j'aime faire de la harpe. Leur montrer qu'il n'y a pas
forcément besoin de tout écrire pour faire de la musique, et leur donner
quelques bases pour pouvoir s'inventer sa propre partie de harpe lorsque rien
n’est déjà écrit pour l'instrument. L'idée, c'est de faire de la musique
ensemble en s'écoutant et en utilisant des procédés nouveaux comme la lecture
d'une grille, l'improvisation en solo ou collective, explorer différents modes
de jeux possibles. Nous essayerons de créer des choses ensemble à partir des
compos et arrangements que je leur ai proposés et des idées de chacun. Le but
est avant tout de découvrir des choses et de se faire plaisir!
Quelle est la place du jazz dans vos
propres compositions et quelles sont vos influences jazzistiques?
Ça dépend de ce que je cherche dans la
composition, je n'utilise pas systématiquement les mêmes procédés. Je peux
partir d'une métrique que je trouve intéressante, d'un enchaînement harmonique,
d'une idée mélodique... Ceux-ci sont plus ou moins jazzistiques c'est-à-dire
rattachés à des sonorités propres au Jazz, mais là ça ne veut pas dire grand
chose tellement il a évolué et s'est mélangé au fur et à mesure de son
développement, pour moi, c'est plutôt un esprit. L'envie
d'intégrer des passages improvisés, une
part d'inconnu dans chaque morceau, ouvrir les modes de jeu. J'ai pas mal
écouté John Coltrane dans sa dernière période avec McCoy
Tyner qui a un jeu très inspirant pour la harpe, Keith Jarrett, Herbie
Hancock, et autres stars... Alice Coltrane (harpe), Edmar
Castaneda (harpe), Brad Mehldau (piano), Vijay
Iyer (piano), Tigran Hamasyan (piano), Rudresh Mahanthappa (sax), Amir
ElSaffar, Arve Henriksen... Les envies de compositions évoluent
au gré des découvertes musicales..
Herbie Hancock au Saveurs Jazz (photo : Jean Thévenoux)
Et comme vous avez aussi gagné au grattage
on souhaiterait que vous nous fassiez part de votre" Sur la platine
de..." (autre rubrique de Toque et Notes) en 5 disques ?
5 c'est dur!
Love Supreme de John Coltrane, emblème du
Jazz modal pour moi!
Le quatuor à cordes de Ravel (et
celui de Debussy !) c'est juste magnifique, et il y a tant de similitudes avec
les harmonies utilisées dans le Jazz.
Cuarto de Colores d'Edmar Castañeda - latin Jazz
(le premier harpiste à m'avoir mis une grosse claque harpistique et musicale! -
dans le bon sens du terme-)
Red Hail de Tigran Hamasyan, qui a
"modernisé" ma vision du Jazz et qui fait partie des artistes de ma
génération.
Fourteen de Dan Weiss - découvert
beaucoup plus récemment, magnifique écriture
pour 14 musiciens, et subtil mélange avec
improvisation. Très inspirant!
Vous le savez, l'association Jazz au Pays tisse son fil toute l'année avec de nombreuses actions culturelles sur le territoire de l'Anjou bleu. Cette année, Xavier Thibaud mène depuis septembre des ateliers auprès de deux ensembles du territoire. Présentation et revue d'effectifs avant les 2 concerts prévus fin mars...
Xavier Thibaud, qui êtes-vous ?
Je suis saxophoniste baryton et j'ai commencé par le spectacle de rue dès 1998 au sein d'une fanfare (Zephyrologie) avec laquelle j'ai joué pendant 12 ans et qui m'a amené à me produire partout en France, mais aussi en Europe et au Canada.
Depuis une dizaine d'années, je joue dans différents projets, notamment au sein du collectif nantais 1name4acrew (Pulsar, Zounds, SubuteX, Kind of Pop) mais aussi avec d'autres musiciens des Pays de la Loire (Slurp BB, Marabout OrkestraNDR: tous deux venus au Saveurs Jazz !).
Au cours de ma vie de musicien, j’ai eu l'occasion de travailler avec des ensembles amateurs, comme la Fanfare du Coin depuis cinq ans, ou encore de participer à des créations avec des Harmonies ou de jeunes musiciens issus d'écoles de musique.
Le projet Kind Of Pop, qu’est-ce que c’est ?
L’idée de Kind of Pop est née d'une réflexion d'Alexandra Charrier qui s'occupait alors des actions culturelles pour le Pannonica. Elle souhaitait susciter l’intérêt des collégiens pour l'écoute du jazz et des musiques improvisées. En effet, le jazz n'a pas toujours eu l'image qu'il peut avoir actuellement : celle d'une musique difficile d'accès. C'est à l'origine une musique de danse, populaire, et de tout temps les musiciens de "jazz" ont emprunté au répertoire populaire pour en avoir une relecture improvisée.
C'est donc naturellement que nous avons décidé de réinterpréter des standards de la pop actuelle pour ouvrir non seulement les collégiens mais tous les publics à cette forme instrumentale.
Comment se déroulent les séances de travail avec les élèves de l’orchestre de Segré et Candé ?
Nous avons travaillé sur des tubes très récents que je ne vous révélerai pas pour ne pas gâcher la surprise, le but du spectacle étant que le public trouve les morceaux réinterprétés ! J'ai proposé des arrangements aux orchestres, je veux avant tout que les musiciens comprennent l'importance du rythme et de la tourne (du "groove"), mais aussi qu'ils sortent le nez de leurs partitions pour jouer ensemble. Je veux qu'ils aient une vision globale de la structure du morceau afin de pouvoir la rendre flexible. Je suis allé à plusieurs reprises diriger les ensembles avec l'aide d'Emmanuel Dardelle et de Julien Behar qui travaillent toute l'année avec eux et qui ont pu m'aiguiller sur le travail à réaliser. Je voulais que les musiciens adhèrent au projet par le choix du répertoire, qui reflète la musique qu'ils écoutent, mais qu'ils comprennent la difficulté d'enlever le chant (support principal du sens et de la mélodie dans la pop) et de trouver de la matière musicale dans ces morceaux.
À quoi ressemblera le concert ?
Le concert commencera par quelques morceaux de Kind of Pop, vite rejoint par l'orchestre de Segré puis par l'orchestre de Candé. Nous serons alors plus d'une vingtaine sur scène. J'aimerais que ce concert soit avant tout un moment jubilatoire pour les musiciens et donc pour le public car le jazz permet ça, cette liberté de jouer et de s'amuser sur scène.
Retrouvez Xavier Thibaud et son quartet Kind of Pop en concert avec l'orchestre du collège Georges Gironde de Segré en Anjou Bleu et l'orchestre junior de Candé (École de Musique de l'Anjou bleu) :
Vendredi 30 mars : Candé - Salle Beaulieu - 20h30
Samedi 31 mars : La Pouëze - Théâtre de l'Ardoise - 20h30