Un sourire jusqu’aux oreilles éblouit la scène
en deuxième partie, celui de l’immense artiste : Lucky Peterson. Il nous invite
dans l’antre des bluesmen, dans laquelle il dispense son jazz avec générosité.
Cet organiste, guitariste et chanteur nous fait partager tout l’héritage du
gospel et du blues, en passant d’un morceau plein d’énergie à une balade
sensuelle.
On peut en faire des choses en 12 mesures,
le prince du blues est là pour nous le prouver ! L’enthousiasme a gagné les
spectateurs lorsqu’il a traversé la salle de part en part, accompagné de sa
guitare. Cet instant est inoubliable, il maîtrise la tension à la perfection
lors d’un solo dont nous nous souviendrons. Une note tenue et c’est l’extase!
Après une intro à la Jimi Hendrix, un boogie woogie endiablé enflamme la scène.
Une osmose se créé entre Lucky Peterson et Nicolas Folmer lors d’un dernier morceau inspiré d’un thème écrit par le trompettiste.
Myriam et Orianne
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